Sexologue, hypnothérapeute, coach et médiatrice familiale, je suis également la maman de 3 enfants.
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé aider les gens, être à leur écoute…Mes études en sciences de la famille et de la sexualité ont été pour moi une forme de révélation. Je savais que j’allais poursuivre dans ce domaine. J’ai aimé concevoir le couple et la sexualité, l’un avec l’autre mais aussi indépendamment l’un de l’autre.
J’ai continué à me former, à me perfectionner afin de pouvoir permettre une prise en charge optimum pour les personnes que j’allais recevoir.
Au cours de ces années, je me suis intéressée aux neurosciences et formée à différentes techniques permettant de se déstresser et de “se réparer”.
La découverte de l’hypnose éricksonienne et NGH fut pour moi déterminante. Son potentiel de transformation et son utilisation des mots et de l’imagination en font pour moi un outil de prédilection.
L’hypnose me sert d’outil mais permet également des prises en charges individuelles (se libérer du tabac, gérer les traumas, le stress, les angoisses, retrouver une silhouette, gérer un deuil…).
Ma formation en coaching humaniste global me permet d’envisager l’individu comme étant un « tout », avec ses ressources, dans son contexte.
L’expérience m’ a montré qu’il est nécessaire lors d’un suivi (en hypnose, en sexologie, en EMDR ou dans le cadre d’un burnout) d’ajouter des outils de coaching et de PNL.
Je suis formée à la prise en charge du burnout professionnel, parental. Pourquoi ?
Parce que je me suis rendue compte dans le cadre de mes suivis, que le burnout était souvent présent et impactait la relation de couple/ le système familial… .
Au fur et à mesure de ces formations, j’ai peu à peu pris conscience que ce serait à la croisée de ces outils, de mes aptitudes, de mes préoccupations que ma voie est celle d’accompagner les autres pour leur permettre de trouver leur propre chemin d’accomplissement.
Certifiée en hypnose thérapeutique, formée en EFT et au PDMY (EMDR) et à l’accompagnement du burnout, je pratique la pleine conscience depuis de nombreuses années. Toujours en quête d’enrichir mes outils, je continue de questionner les pratiques que j’utilise comme celles que je découvre et m’inscris dans une dynamique de formation continue et de supervision.
Mon accompagnement est fondé sur la conviction profonde que chaque personne a en elle toutes les ressources nécessaires pour se réaliser pleinement.
Depuis septembre 2023, je suis également médiatrice familiale.
La médiation familiale est une approche alternative de résolution des conflits, particulièrement utile en cas de séparation ou de divorce.
Elle permet aux couples en instance de séparation ou de divorce de trouver des solutions aux problèmes liés à leur situation.
Cette méthode, inspirée des pratiques américaines et canadiennes, a été introduite en Belgique en 2005.
Les séances de médiation se déroulent sans la présence d’avocats, et le but est de parvenir à des accords sur des questions telles que la division des biens et la garde des enfants, si nécessaire, pour un divorce à l’amiable.
En cas d’absence de communication entre les ex-conjoints, ils ont la possibilité de laisser les avocats et le juge décider à leur place. Cependant, pour ceux qui souhaitent maintenir le contrôle de leur dossier, un médiateur intervient en tant que facilitateur impartial. La médiation offre un espace sécurisé pour la communication, où toutes les questions et émotions peuvent être abordées pour progressivement reconstruire le dialogue.
Pendant les séances de médiation, il n’y a pas d’avocat, bien que les parties puissent consulter un avocat séparément pour obtenir des conseils juridiques ou faire relire les accords.
Le choix de la médiation demande du courage, car il permet aux ex-conjoints de regagner une certaine emprise sur leur situation, même en cas de douleur émotionnelle.
La médiation est utile non seulement lorsque la séparation se passe bien, mais aussi lorsque les relations sont conflictuelles. Le médiateur accueille les émotions et les besoins de chaque partie, cherchant à trouver des solutions justes au milieu de ces tourbillons émotionnels. Même après la séparation, les ex-conjoints demeurent des parents pour leurs enfants, ce qui souligne l’importance de maintenir une communication efficace, même avec l’aide d’un médiateur.
Contrairement à un recours judiciaire, où un juge prend des décisions en se basant sur les droits et les obligations des parties, la médiation permet aux parties de rester maîtresses de leur différend.
Le médiateur n’est pas un juge, mais un professionnel formé pour garantir un cadre de discussion sécurisant, rétablir un dialogue constructif et aider les parties à élaborer des solutions personnalisées. Ce processus est généralement plus rapide et moins coûteux qu’une procédure judiciaire traditionnelle, avec des accords de divorce issus de la médiation coûtant trois à cinq fois moins cher que ceux obtenus devant les tribunaux.
En fin de compte, la médiation exige une attitude d’ouverture malgré la colère et la souffrance, ainsi qu’une volonté d’écouter. Le médiateur est là pour créer un environnement sécurisé où même les sujets difficiles peuvent être abordés
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